dimanche 17 juin 2007

Site Internet

Aujourd'hui, le site internet est en construction. C'est la raison pour laquelle le blog est un peu délaissé. A trés bientôt pour des news plus fraîches

vendredi 25 mai 2007

ENFIN!

Nous l'attendions avec impatience, la voici arrivée.
Mardi 23 Mai 2007 sera marquée par la déclaration officielle de la création de l'association.
Nous pourrons enfin lancer les procédures de demandes de subventions.
Nous avons déjà un gros projet qui a des chances d'aboutir avec la commune de Charvieu_Chavagneux (38).
pensez à nous!!

lundi 26 mars 2007

Mascotte




Voici "JOHN JOHN", la mascotte de notre association. Pourquoi ? Car elle est à l'origine de celle-ci. C'est cette oeuvre qui a réuni les deux artistes, Ben et Yo, surnommés "Uncle Tom et uncle Ben" et qui leur a donc permis de créer ce projet.
Elle est aussi le symbole de ce que l'association veut faire avec les enfants, car elle est faite a partir de matériau récupéré et recyclable, ainsi que de lumière économique.
Merci de nous donner votre avis sur "John john".

dimanche 25 mars 2007

Projet

« Invité au cœur des glaces de l’Arctique, vous vous émerveillez devant un spectacle d’une rare beauté, que peu d’êtres humains ont eu l’occasion de voir de leurs propres yeux.
Votre regard se pose sur un ours polaire, magnifique, qui nage dans ces eaux qu’il connaît bien. Il nage en toute quiétude sachant qu’ici et là, quelque iceberg pourra l’accueillir afin de reprendre un peu d’énergie. Mais cette fois, il n’y arrive pas. La couche de glace est bien trop fine pour le supporter. Ces petits îlots glacés craquent sous son poids. Épuisé, il se noie. »


Voilà le genre d’histoire que l’on ne raconte pas aux enfants avant qu’ils s’endorment.
Pourtant, ce fait n’a rien d’exceptionnel, il illustre une réalité que la distance nous fait oublier. Les dégâts causés à notre demeure et à ses habitants sont aujourd’hui largement dévoilés. Des mots qui étaient autrefois dans la bouche de « rebelles » ou de « catastrophistes » sont aujourd’hui dans celle de monsieur et madame tout le monde. « Fonte des glaciers », « réchauffement climatique », « trou de la couche d’ozone », « effet de serre », « inondations », « sécheresses », « danger imminent », sont devenus les expressions classiques du 20h.


Cette année, plus que jamais, la question de l’environnement et des énergies renouvelables est au cœur de beaucoup de débats et d’inquiétudes. D’accords en conventions, de reportages en films, les gouvernants sont de plus en plus convaincus de la nécessité de sensibiliser la population aux gestes citoyens qui permettraient de préserver le peu d’atmosphère qu’il nous reste. Nous nous devons de ne pas détruire la maison qui sera celle de nos enfants demain.

Malheureusement, trop de gens encore ignorent le problème et comme l’a dit Mr Chirac, « la maison brûle et nous tournons la tête de l’autre côté ». Même si les esprits sont de plus en plus tournés vers cette problématique, les comportements sont majoritairement détachés. Sommes-nous en train de vivre le syndrome du Titanic décrit par Nicolas Hulot ? Alors que le bateau coule, allons-nous nous laisser bercer par la douce mélodie, profitant pleinement de la vie, ignorant volontairement le danger. Mais, à l’image d’un lourd navire, il sera difficile, voire impossible de faire machine arrière :
« Le grand public a pris conscience du réchauffement, mais il y a une grande inertie générale. […] Si l’on en prenait la mesure, il n’y aurait pas d’effet visible avant vingt ou trente ans ! », nous fait réaliser Pierre Etchevers, directeur du CEN (Centre d’étude de la neige).

Mais comment faire changer les choses ? Comment passer de l’indifférence à l’éveil puis à l’action ? Comment faire passer l’écologie du phénomène de mode au mode de vie ? Comment faire changer durablement les mentalités et les comportements ?

Il est difficile de changer des habitudes profondément ancrées. Les méthodes à employer pour emmener le public à avoir les bons gestes sont diverses. Trois méthodes principales : l’incitation (par récompense), la dissuasion (par punition) et l’information.

L’incitation et la dissuasion peuvent être considérées comme des méthodes palliatives. Elles ont un effet superficiel sur le comportement, ne changeant pas les motivations profondes, celles qui devraient nous inciter à respecter notre demeure.
« Non, l’autorité, ça ne marche pas, déclare Jens Merter, Chef du LSS (laboratoire des systèmes solaires). Si on est forcé, il n’y a pas de motivation, donc pas d’idées. Ce qu’il faut, c’est stimuler, créer l’ambiance, donner les moyens de créer. ».
Beaucoup de démarches sont entreprises afin d’éduquer les enfants, ces futurs occupants du monde de demain, à des gestes citoyens, à une sensibilisation de ce que notre planète encourt.
Force est de constater qu’aujourd’hui la tâche est colossale et l’éducation à la citoyenneté en matière d’environnement n’en est qu’au stade embryonnaire.
En ce troisième millénaire, nombreux sont les esprits qui s’enhardissent à donner un élan de sensibilisation. Al Gore, Nicolas Hulot,Yann Arthus Bertrand et bien d’autres tentent de montrer la voie à nos générations futures.

L’articole considère l’éducation comme le facteur clé menant à un réel changement. Or, qui mieux que les enfants sont réceptifs à l’éducation. Ils constituent jour après jour leur personnalité et donc leurs comportements. Si nous voulons changer l’avenir, c’est donc bien les enfants qu’il faut sensibiliser.
Ayant naturellement des droits sur l’avenir, leur volonté dans ce domaine a du poids. Elle peut inciter des adultes de leur entourage à réformer leurs habitudes.

Objectifs

C’est pour apporter son soutien et son expérience à ces initiatives primordiales que l’association L’articole propose d’inculquer au jeune public des valeurs citoyennes à travers l’apprentissage des arts.
Dans le domaine particulier de l’environnement, l’association L’articole travaille sur un thème sensible, tout en ayant un objectif pédagogique et ludique. Il s’agit d’ouvrir les enfants au monde artistique en leur proposant une pratique de la musique et des arts plastiques. Ces deux arts seront développés en corrélation, au service de la sensibilisation sur la question de l’environnement.
En travaillant sur l’écoute et l’observation de la nature, mais aussi sur l’impact et les sentiments qu’elle évoque en nous, cette association marquera pleinement les esprits du public avec lequel elle travaillera.
Tout cela, afin que nous puissions tous « regarder les arbres sans se sentir coupables ».



Voilà le logo crée grâce à une étroite collaboration entre des artistes de tous poils. Il faut savoir que le choix du logo et du nom de l'association a été plus difficile que le reste, car le premier nom choisi ("art-terre"), existait déjà.

Mais ce nom sonne trés bien, n'hésitez pas à nous donner votre avis.